sortie le 03 mars 2017
INTACTS
Le ciel et les étoiles
Noyé dans un verre
Intacts
Déjà demain
Tourner robot
Comme une étoile filante
J’ai marché sur la Terre
Je marche dans les rues
Bleu
Jusqu’à l’infini
Bon pour la casse
Paroles et musique : Paul Péchenart
INTACTS – Les Chansons
Rien n’est réel. Tout est imaginaire. Si les souhaits, si les rêves sont assez forts et assez fous, ils reçoivent des échos de partout, même de très loin. D’aussi loin que les étoiles les plus lointaines.
L’amour a des versants abrupts, vertigineux. Vers le haut et vers le bas. Et, parfois, le chagrin ne laisse plus de place au reste.
C’est la chanson du Martien qui est allé faire un tour sur la Terre. Et il y a trouvé la même chose que sur sa planète. Beau voyage dans le système solaire pour aller chercher ce qu’il a déjà sous la main.
Un envol vers le ciel. Un rêve en couleur. Tout va bien.
C’est le point de départ positif à partir duquel ont été écrites les autres chansons de l’album, les joyeuses et puis les autres aussi.
Les rêves n’ont pas de limites. Les rêveurs non plus. Leur refuge ne connaît pas de frontières. D’un côté, la réalité avec ses coins sombres, de l’autre, les lumières qui scintillent. Lointaines mais amicales et bienveillantes.
La solitude, la descente et la chute. Puis le sursaut, le déclic. Il y a toujours un moment où la force reprend le dessus.
Seul face aux machines assourdissantes, à la réalité mécanique et oppressante. C’est le moment de partir, de tout laisser derrière soi. Comme à la fin d’un mauvais rêve qui se dissipe quand le jour se lève.
Les bons conseils de Capucine et David à leurs amis ! Mais aussi de l’un à l’autre et de chacun(e) à lui(elle)-même …
Si « Bleu » est le point de départ positif de l’album, « Bon pour la casse » en est la conclusion. Positive aussi.
Cette chanson aurait pu s’appeler « Le fil du rasoir ». Il faut parfois faire un pas de côté pour avoir une meilleure vue sur l’endroit où l’on va. Avec, comme récompense, le soleil qui se lève à la fin.
Un détour par le côté obscur pour une vision descendante du monde. Toutes les créatures et tous les fantômes sont là. Il faut aller les chercher et les affronter dans leurs souterrains même si ça se termine par un brusque stop à la fin.
On ne comprend pas toujours où nous mène notre intuition. Mais ça n’a aucune importance. Il faut suivre et s’émerveiller. Le « hasard » fait bien les choses.
Credits
Paul Péchenart : chant, guitare électrique, guitare acoustique, ukulélé avec et sans wah-wah
Paul Péchenart Junior : batterie, guitare électrique, guitare acoustique, basse, synthétiseur de poche, chœurs, percussions
Esteban Avellan : basse électrique, basse acoustique, guitare électrique avec et sans e-bow
François Casaÿs : claviers divers et variés
Capucine Péchenart : chant sur « Bon pour la casse »
David Cellier : chant sur « Bon pour la casse »
Production : les deux Paul Péchenart
Arrangements : Paul Péchenart Junior
Enregistrement et mixage : François Casaÿs assisté d’Adrien Pinet
Studio : Accès Digital
Photographies et design : Carole Nortier
Label : Juste Une Trace
Juste Une Trace : Edith Gaudy, Paul Bessone
Mercis : Agnès Simon, Antoine Larrey, Antoine Sirven, Ben Maître, Bérenger Nail, Bernadette Cettolin, Brigitte Dufayet, Camille Casaÿs, Carole Nortier, Caroline Yergeau, Christophe Belhair, Chrystel Bofestival, David Cellier, Eléonore Navarro, Guillaume Milovan, Hélio Pereira, Juliette Péchenart, Lucien Cettolin, Nathalie Réaux, Pauline Paris, Rafael Leroy, Romain Flandre, Sandrine Lennes, Sophie Casaÿs, Tom, Vincent Bédouin, Zox
Mercis plus appuyés : Claire Augé, Marion Fabre, Myriam Quévédo
Mercis extrêmement appuyés : Capucine et Paul